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(1 post)
  • Started 12 years ago by maos6x23k

  1. maos6x23k
    Member

    <p>Pascal hocha tristement la tête.</p>

    <p>Pascal prit la main de Croix-Mesnil et la serra.</p>

    parce que... Eh! à quoi bon vous dire tout cela? Vous devez me comprendre, puisque vous l'aimez comme moi, et que, Sac Louis Vuitton comme moi, elle ne vous aime pas!</p>

    <p>--Elle ne m'aime pas, c'est vrai, répéta le baron. Mais vous...</p>

    <p>Pascal ne répondit pas. Il ouvrit ses bras. Croix-Mesnil s'y http://www.collempo.com jeta. Et ces deux rivaux s'étreignirent comme deux frères.</p>

    <p>--Votre peine me fait mal, dit-il avec un accent profond.</p>

    <p>--Non! ne regrettez rien! Ce qui est devait être. Il eût été bien désolant qu'il en fût autrement. À une âme comme la sienne il fallait un coeur comme le vôtre. Vous seul pouviez la rendre heureuse, et Louis Vuitton Pas Cher c'est ma seule espérance, c'est l'unique consolation que je veuille emporter. Je l'ai chérie pour elle, et non pour moi-même, et je crois en donner la Louis Vuitton Sac Pas Cher preuve en vous parlant comme je le fais...</p>

    <p>--Entre elle et moi, moncler homme il y a un abîme. Je m'appelle Carvajan...</p>

    <p>Derrière la persienne, Antoinette se tenait debout, immobile. Les jeunes gens s'étaient éloignés qu'elle restait encore là, comme si le son de leurs paroles vibrait encore à son oreille. Elle se retourna, vit la chambre qui s'étendait obscure devant elle, et, avec un tressaillement, se rappela ce jour si triste où elle http://www.flashedema.com s'était enfermée là pour lire la première lettre de la tante Isabelle. Elle retrouva toutes ses impressions, toutes ses craintes, toutes ses espérances. À cette table, elle s'était accoudée, dans un complet anéantissement moral et physique. Le papier de ce buvard gardait doudoune Moncler Pas Cher la trace de ses larmes. L'horizon était bien noir alors, et maintenant il était bleu et riant! En quelques semaines, par la toute-puissante volonté d'un homme amoureux, tout avait été sauvé. Comme un écho des soupirs

    <p>--Vous vous appelez: l'homme qu'elle aime, dit Croix-Mesnil.</p>

    <p>--Je dis ce qui est vrai, ce qui est juste, ce qui est digne! Oh! combien vous êtes heureux d'avoir pu vous dévouer et vous sacrifier pour elle! moncler veste Son coeur est un trésor, et il vous appartient. Croyez-en un homme aimant, dont la clairvoyance n'a pu être trompée, qui s'est plu à Louis Vuitton Sac acquérir la certitude de son malheur et qui en a horriblement souffert. Elle vous aime, et elle le doit, et elle est trop noble, trop grande, trop généreuse, pour ne pas vous aimer. Si elle ne vous aimait pas, elle ne serait pas la femme qu'elle est. Allez, réjouissez-vous, et ne partez pas: elle Louis Vuitton Pas Cher vous aime!</p>

    <p>--Je n'ai pas annoncé mon départ, dit le baron, moncler femme et cependant je partirai demain, moi, et pour ne plus revenir. Disons-nous adieu. Je ne http://www.hagavill.com vous souhaite rien: vous avez tout. Mais vous, souhaitez-moi d'oublier.</p>

    <p>--Mais, vous, Pascal, elle vous aime.</p>

    <p>--Que dites-vous?</p>

    <p>Ils restèrent absorbés pendant un temps assez long, suivant chacun leurs pensées, puis ils se levèrent.</p>

    <p>Il poussa un profond soupir, puis, d'une voix altérée:</p>

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    Posted 12 years ago #

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